Avec plus de 30 ans d’expérience dans la création et l’entretien des espaces verts, idverde assure le bien-être des utilisateurs et la préservation de l’environnement dans chacune de ses activités. Chaque jour, nos 8 000 collaborateurs transforment des endroits gris en lieux verts et respectueux de l’environnement.
Saviez-vous qu’en France, seuls 1 % des emplois sont encore vraiment “verts”, alors que 16 % des offres d’emploi concernent déjà des métiers engagés dans la transition écologique ? Ces chiffres montrent bien que le secteur est en pleine croissance, prêt à accueillir toujours plus de talents !
C’est une bonne nouvelle pour les personnes qui cherchent un métier concret, utile et qui permet d’agir directement pour l’environnement. Mais comment se lancer quand on n’a pas encore d’expérience ? Comment trouver sa voie et réussir ses premiers pas dans ce secteur ?
Dans cet article, nous vous guidons pas à pas pour comprendre les opportunités des métiers verts, connaître les attentes des recruteurs, choisir la bonne formation, éviter les erreurs classiques et surtout prendre confiance.
Que vous soyez étudiant(e), en reconversion, ou tout simplement attiré(e) par les métiers de terrain en lien avec la nature : il y a assurément une place pour vous.
Quand on parle de métiers verts, on pense à tous ces métiers qui, d’une manière ou d’une autre, contribuent à préserver la nature et à améliorer notre cadre de vie. Que ce soit par la gestion des espaces naturels, la végétalisation des villes ou des techniques plus respectueuses de la biodiversité, ces professions ont toutes un point commun : elles ont du sens et elles ont de l’avenir.
À l’origine, le terme “métiers verts” désignait les professions directement liées à la protection de l’environnement, comme la gestion des espaces naturels ou le traitement des déchets. Mais aujourd’hui, on y associe aussi les “métiers verdissants”, c’est-à-dire tous les métiers traditionnels qui intègrent progressivement des pratiques plus durables. Dans le secteur du paysage par exemple, cela concerne les postes où l’on adopte des techniques respectueuses de la biodiversité, où l’on repense l’usage de l’eau ou encore où l’on privilégie des matériaux plus écologiques.
Mais pourquoi ces métiers recrutent-ils autant ? Tout simplement parce que les besoins sont énormes. La transition écologique est en marche, les villes repensent leurs espaces, la nature doit reprendre sa place. Et pour concrétiser tout cela, il faut du monde sur le terrain !
Dans le paysage, cela se traduit par des recrutements dans de nombreux métiers :
Pour les jeunes, les personnes en reconversion et/ou les passionné(e)s de nature, ces métiers offrent des débouchés concrets, durables, et de belles perspectives d’évolution. Chez idverde, ils sont au cœur de notre quotidien.
Quand on postule à un métier vert, notamment dans le secteur du paysage, on se demande souvent ce qu’attendent réellement les recruteurs. La réponse est plutôt rassurante : pas besoin de tout savoir, mais certaines qualités et compétences font vraiment la différence.
Commençons par l’essentiel : les compétences techniques. Elles varient en fonction du poste, mais certaines bases sont toujours appréciées. Connaître les végétaux et leurs besoins, savoir utiliser des outils et des engins comme les tondeuses ou les débroussailleuses, savoir lire un plan simple ou suivre un schéma d’arrosage… Ce sont des atouts précieux dès les premiers jours sur le terrain.
Mais ce qui compte tout autant, c’est ce qu’on appelle les « soft skills ». Dans les métiers du paysage, l’esprit d’équipe, la ponctualité, le respect des consignes et surtout l’envie d’apprendre sont les qualités le plus souvent citées par les encadrants. Car sur un chantier, on avance ensemble, et la motivation fait bien souvent toute la différence.
La curiosité et la capacité à s’adapter sont également des points forts. Les journées ne se ressemblent pas toujours : entre les conditions météo, les petits imprévus et les priorités qui changent, il faut pouvoir rebondir avec le sourire.
Un bon premier contact est déterminant : politesse, écoute et motivation peuvent faire toute la différence, parfois plus que l’expérience !
Envie de vous lancer dans un métier vert mais vous ne savez pas par où commencer ? Bonne nouvelle : les parcours sont nombreux, accessibles et souvent très concrets.
La première étape est souvent la formation, et il y en a pour tous les niveaux. Le CAPA Jardinier Paysagiste ou le Bac Pro Aménagements Paysagers sont deux diplômes très répandus pour acquérir les bases du métier. Vous apprendrez à reconnaître les plantes, à entretenir les sols, à manier les outils et à intervenir dans des environnements variés. Le BTS Aménagements Paysagers permet d’aller plus loin et d’accéder à des postes à responsabilités.
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La reconversion professionnelle est aussi une belle porte d’entrée. Vous venez du bâtiment, de l’agriculture ou d’un tout autre secteur ? Ce n’est pas un frein. Des formations pour adultes, des titres professionnels et des parcours passerelles permettent de vous réorienter tout en valorisant vos expériences passées.
Autre voie précieuse : l’alternance. C’est sans doute la meilleure manière de découvrir le métier tout en étant formé(e). En rejoignant une entreprise comme idverde, vous êtes accompagné(e), formé(e) sur le terrain et vous gagnez en confiance. C’est un vrai plus sur un CV.
Même si vous n’avez jamais planté un arbre, vous avez peut-être aidé au potager familial, participé à un projet associatif, ou travaillé en équipe sur un chantier bénévole. Ces expériences comptent. Il suffit de savoir les présenter comme des atouts.
Quand on démarre dans un métier vert, on peut facilement se faire de fausses idées. Certains s’imaginent un métier tranquille au grand air, d’autres redoutent un travail trop physique. La réalité est souvent entre les deux : c’est un métier concret, vivant, avec ses avantages… mais aussi ses exigences.
Ce qu’il vaut mieux éviter, c’est de se lancer sans se poser les bonnes questions. Travailler dans le paysage demande de l’engagement, de la rigueur et une vraie envie de progresser.
Autre erreur fréquente : vouloir aller trop vite. Lorsqu’on arrive sur le terrain, on commence souvent par des tâches simples et répétitives. C’est une étape essentielle pour comprendre le fonctionnement d’un chantier, observer le travail des autres, apprendre les bons gestes et se faire une vraie place dans l’équipe.
Ce qu’attendent les recruteurs, c’est surtout de l’écoute, de la motivation et l’envie de progresser.
Un chantier, c’est avant tout un projet collectif. Pour que cela fonctionne, il faut pouvoir compter les uns sur les autres. Montrer qu’on est là pour apprendre, pour contribuer, pour faire avancer les choses : c’est ce qui donne envie aux encadrants de transmettre et d’accompagner.
Même avec une formation solide, la réalité du terrain peut apporter son lot de surprises. Les journées commencent tôt, les conditions sont parfois changeantes et il faut apprendre à tenir le rythme. Mais c’est justement ce contact direct avec le vivant, la terre, les plantes et les équipes qui donne toute sa valeur au métier.
Heureusement, les équipes sont là pour accompagner. Chez idverde, les jeunes recrues ne sont jamais livrées à elles-mêmes. Un chef d’équipe, un tuteur ou un collègue plus expérimenté prend le temps d’expliquer, de montrer, de corriger avec bienveillance. C’est grâce à ces échanges que la prise de poste devient plus fluide et plus rassurante.
C’est aussi à ce moment-là que beaucoup réalisent à quel point ce métier est concret et gratifiant. Voir un espace prendre forme, savoir qu’on y a contribué, sentir la confiance de ses collègues : ce sont des petites réassurances qui boostent la motivation au quotidien.
Chez idverde, réussir ses débuts est important. Mais ce n’est qu’un point de départ ! Ce que nous valorisons surtout, c’est la progression, le plaisir d’apprendre et l’envie de construire un parcours durable.
Dès l’intégration, les nouvelles recrues sont accompagnées : les règles sont expliquées, l’équipe est présentée et des repères concrets sont donnés. Sur le terrain, les encadrants sont là pour guider pas à pas. Le but ? Que chacun trouve sa place, prenne confiance et puisse monter en compétence à son rythme.
L’accompagnement ne s’arrête pas là. L’entreprise propose aussi un large panel de formations pour progresser, se spécialiser ou évoluer vers d’autres fonctions. Cela peut passer par le perfectionnement des techniques de taille ou de maçonnerie paysagère, la maîtrise de l’arrosage automatique ou même des formations en gestion de chantier. Tout est fait pour que chaque collaborateur continue à apprendre, quelle que soit son ancienneté.
C’est aussi ça, l’esprit d’idverde : encourager les talents, donner des perspectives d’évolution et faire grandir les équipes en valorisant les savoir-faire. Certains deviennent chefs d’équipe, d’autres se spécialisent dans la biodiversité ou dans la conduite d’engins… Les opportunités sont nombreuses, à condition d’avoir l’envie.
Et parce qu’un cadre de travail motivant compte autant que les missions, nous veillons aussi au bien-être au quotidien des collaborateurs : matériel de qualité, horaires adaptés, reconnaissance du travail bien fait… tout est pensé pour que chacun puisse s’épanouir dans son métier.
Chez idverde, ce sont les collaborateurs qui font la réussite de nos chantiers. Ce sont eux qui imaginent, créent et entretiennent les espaces de demain, dans une ambiance où le respect, la confiance et la transmission sont des valeurs bien ancrées.
Et ce sont eux qui en parlent le mieux.
Cyril, par exemple, n’a que 22 ans, mais il incarne déjà la nouvelle génération de paysagistes engagés. Après un bac scientifique, un BTS en alternance et désormais une licence pro à Grenoble, il évolue aujourd’hui avec les équipes de Marseille. Ce qui l’a marqué ? “La culture du partage et la transmission des savoirs.” Chez idverde, il découvre chaque jour l’impact concret de son métier sur l’environnement urbain.
De son côté, Chloé, cheffe d’équipe à Bordeaux, a découvert sa vocation après une reconversion professionnelle. Son évolution managériale a été pensée avec elle, au bon moment. Ce qu’elle retient surtout ? “L’excellente ambiance entre les équipes et la solidarité à l’agence.” Des facteurs clés pour se sentir bien et avancer.
Sébastien, lui, a commencé en tant qu’ouvrier d’exécution en CDD. Aujourd’hui, il est chef de chantier en élagage, encadre plusieurs équipes, et accompagne même les conducteurs de travaux sur la partie technique. Son conseil ? “Avec du courage et de la motivation, c’est un métier technique où on peut vraiment progresser.”
Des parcours différents, mais une même énergie : celle de travailler dans un métier qui a du sens, où chacun peut évoluer à son rythme, apprendre des autres et trouver sa place dans un collectif bienveillant.
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Se lancer dans un métier vert est une façon concrète de contribuer à un monde plus durable, plus agréable à vivre et plus en phase avec les enjeux d’aujourd’hui.
Les métiers du paysage offrent du concret, du contact humain, des projets variés, et surtout, du sens. Et chez idverde, vous êtes accompagné(e) à chaque étape, avec des équipes bienveillantes, des formations adaptées et de belles perspectives d’évolution.
Alors si vous vous posez encore la question : “Est-ce que ce métier est fait pour moi ?”… la réponse pourrait bien être oui. Il suffit parfois d’un premier pas pour démarrer une aventure professionnelle aussi utile qu’épanouissante !
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