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Les soft skills indispensables pour réussir dans les métiers du paysage

Les soft skills indispensables pour réussir dans les métiers du paysage

Vous cherchez à progresser dans votre carrière ou à décrocher un poste dans le secteur du paysage ? Si les compétences techniques sont essentielles, elles ne suffisent plus à elles seules. Les capacités à travailler en équipe, à communiquer efficacement et à gérer les imprévus sont des compétences très importantes pour réussir et se démarquer.

Quels sont ces savoir-être qui font la différence ? Comment les développer ?

Qu’est-ce qu’une compétence comportementale, souvent appelée « soft skill » ?

Les « soft skills », ou compétences comportementales, sont les aptitudes personnelles et interpersonnelles qui influencent la manière dont nous interagissons avec les autres et gérons notre travail. Contrairement aux « hard skills » (ou compétences techniques), les « soft skills » englobent des qualités personnelles telles que la communication, l’empathie, la gestion du temps, la créativité et la capacité à travailler en équipe. Ces compétences, souvent acquises en dehors du cadre scolaire ou universitaire, sont nécessaires pour bien s’adapter et être efficace au travail.

Pourquoi les « soft skills » sont-elles essentielles dans les métiers du paysage ?

Les métiers du paysage ne se limitent pas à la maîtrise des techniques d’aménagement et d’entretien des espaces verts. Chaque projet implique des contraintes climatiques, budgétaires et humaines, c’est pourquoi la réussite repose aussi sur des compétences comportementales. Face aux évolutions du secteur et aux nouvelles attentes des collectivités et entreprises, les « soft skills » prennent une place importante dans la qualité des réalisations finales et la fluidité des échanges tout au long du projet.

Un secteur en mutation, des exigences accrues

L’aménagement paysager est confronté à des transformations majeures. La végétalisation des villes, la gestion des ressources naturelles et la préservation de la biodiversité imposent une approche plus stratégique et collaborative. Savoir écouter, expliquer et convaincre est devenu aussi important que la connaissance des végétaux et la maîtrise des techniques de plantation ! Un conducteur de travaux doit par exemple savoir coordonner des équipes terrain, dialoguer avec des architectes, etc. Ces compétences vont au-delà de la simple technique.

Les compétences techniques ne suffisent plus

Si l’expertise est indispensable pour choisir les bonnes essences ou structurer un espace vert, la communication, la gestion du temps et la capacité d’adaptation le sont tout autant pour garantir la réussite d’un projet. Un chef d’équipe doit non seulement veiller à la qualité des réalisations, mais aussi motiver ses collaborateurs et anticiper les aléas (météo, retards de livraison, imprévus techniques).

Imaginez qu’une tempête soudaine survienne en plein milieu d’un chantier paysager, causant des retards et des dommages imprévus. Dans une telle situation, un chef d’équipe efficace doit non seulement posséder une expertise technique pour évaluer les dégâts, mais également faire preuve de compétences comportementales pour réorganiser le planning, motiver ses collaborateurs face aux défis et communiquer clairement avec les clients et les parties prenantes. Sans ces « soft skills », la qualité du projet pourrait être compromise, et les délais largement dépassés.

Une exigence forte des recruteurs et des clients

Aujourd’hui, les recruteurs recherchent des professionnels capables de s’intégrer dans des équipes pluridisciplinaires et de gérer des projets complexes. La collaboration avec des urbanistes, des ingénieurs et des collectivités exige une posture proactive et une intelligence relationnelle. Selon le Baromètre des soft skills publié en 2023, 63 % des entreprises « identifient les soft skills de leurs collaborateurs, et les développent ».

Les « soft skills » incontournables pour exceller dans les métiers du paysage

Les professionnels du paysage font face à un environnement de travail en constante transformation, soumis aux aléas climatiques, aux évolutions réglementaires et aux exigences croissantes des clients. Il faut être capable de s’adapter, de communiquer efficacement et de gérer des projets complexes en équipe par exemple.

Savoir réagir aux imprévus et aux évolutions du secteur

Les professionnels du paysage doivent souvent composer avec des imprévus fréquents : aléas climatiques, réglementations changeantes, attentes fluctuantes des clients. L’adaptabilité est une compétence clé qui leur permet d’ajuster leurs méthodes de travail et de proposer des solutions viables malgré les nombreuses contraintes.

Les conditions météorologiques influencent directement l’exécution des projets : une sécheresse peut retarder des plantations, tandis qu’une inondation peut modifier la topographie d’un site. Un conducteur de travaux doit être capable de réorganiser un chantier en temps réel pour garantir la qualité des aménagements.

L’adaptabilité s’exprime aussi dans l’intégration des nouvelles pratiques environnementales. Les collectivités et entreprises exigent désormais des solutions plus durables : gestion optimisée de l’eau, réduction des produits phytosanitaires, choix d’essences adaptées aux climats locaux. Un(e) responsable d’agence doit savoir anticiper ces évolutions et ajuster son offre en conséquence.

L’innovation paysagère repose également sur cette capacité à repenser les pratiques. L’apparition des toitures végétalisées, des sols perméables et des infrastructures vertes nécessite une ouverture au changement et une capacité à expérimenter de nouvelles approches.

Savoir communiquer, qui que soit votre interlocuteur

Cela peut paraître évident, mais une communication efficace est indispensable pour assurer la réussite d’un projet paysager. De la conception à la livraison, la communication garantit une bonne transmission des informations, évite les erreurs et améliore la coordination des équipes.

Un chantier implique différents acteurs : paysagistes, architectes, urbanistes, ingénieurs, collectivités et clients privés. Une mauvaise communication peut causer des retards, des malentendus et être responsable d’une exécution non conforme aux attentes. Un conducteur de travaux doit donc veiller à transmettre des consignes claires, et organiser des points réguliers avec son équipe pour ajuster les interventions.

Dans la relation client, savoir argumenter et expliquer les choix techniques est également essentiel. Une collectivité peut vouloir s’assurer que l’aménagement respecte des critères environnementaux stricts. Un responsable d’agence doit alors être capable de démontrer la pertinence des solutions choisies, en mettant en avant leurs bénéfices à long terme.

Adapter son discours en fonction de l’interlocuteur est une compétence très précieuse. Un ouvrier a besoin d’instructions précises et pratiques, tandis qu’un client attend une vision d’ensemble du projet. Les professionnels du paysage qui maîtrisent cet art de la communication ont une longueur d’avance dans la gestion de leurs projets !

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Être efficace en équipe

Un projet paysager est avant tout un travail collectif. Aucun aménagement ne peut voir le jour sans une collaboration efficace entre les différents acteurs du chantier. L’esprit d’équipe garantit une meilleure fluidité dans l’exécution des tâches, une adaptation rapide aux imprévus et une qualité d’exécution optimale.

Sur le terrain, ouvriers paysagistes, chefs d’équipe, chargés d’études doivent travailler en synergie. Une mauvaise coordination génère souvent des retards et/ou une exécution non conforme aux exigences du client.

L’esprit d’équipe est aussi un important levier de motivation. Une équipe soudée est plus efficace et plus réactive face aux difficultés. Un chef d’équipe qui valorise le travail de ses collaborateurs et les implique dans la gestion du chantier renforce la cohésion dans son équipe et leur productivité.

Quoi qu’il en soit, un bon climat de travail favorise l’attractivité et la fidélisation des talents. Dans un secteur où la demande en professionnels qualifiés est forte, les entreprises qui cultivent une vraie dynamique collective ont un avantage compétitif. C’est ce que nous nous efforçons de mettre en place au sein des équipes idverde.

Savoir gérer son temps et faire preuve d’une grande rigueur

Les métiers du paysage sont soumis à des contraintes de temps strictes : les saisons dictent les périodes de plantation, les chantiers doivent respecter des délais précis et les interventions doivent être coordonnées avec d’autres corps de métier.

Un retard d’approvisionnement en végétaux peut compromettre un projet de végétalisation. Une planification rigoureuse et une anticipation des risques permettent d’éviter ces blocages. Un chef d’équipe doit organiser les missions en fonction des compétences de chacun et chacune, en veillant à respecter les échéances tout en maintenant une qualité d’exécution irréprochable.

La rigueur est également essentielle pour garantir la conformité des aménagements aux normes environnementales et assurer la sécurité des équipes. Ce dernier point est un enjeu majeur pour notre entreprise et nos équipes. En effet, chez idverde nous appliquons une politique stricte de prévention des risques, afin d’atteindre notre objectif « Zéro accident du travail ».

Être innovant et réactif

L’innovation est devenue essentielle pour concevoir des aménagements à la fois esthétiques et respectueux de l’environnement, qui répondent aux besoins actuels.

Créer un espace paysager implique de trouver des solutions adaptées aux contraintes spécifiques d’un site : gestion des eaux pluviales, adaptation aux sols, optimisation de l’espace. Les professionnels du paysage doivent faire preuve d’ingéniosité pour répondre aux enjeux environnementaux et aux attentes des clients.

L’innovation passe aussi par l’expérimentation de nouvelles techniques :

  • Sélection de végétaux résistants aux sécheresses
  • Intégration de matériaux recyclés
  • Utilisation de revêtements perméables pour limiter les îlots de chaleur

Savoir résoudre les défis techniques et environnementaux est une compétence clé. Un paysagiste doit être capable d’adapter ses choix en fonction des contraintes du terrain et des exigences réglementaires.

C’est dans ce sens, qu’au sein d’idverde nous encourageons la formation des équipes pour développer ces compétences douces, qui favorisent une qualité irréprochable d’exécution sur nos projets de paysagisme.

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Développer et renforcer ses « soft skills » pour progresser dans le secteur

Dans les métiers du paysage, les « soft skills » ne sont pas figées ni innées : elles s’acquièrent et s’affinent avec l’expérience, la formation et la pratique quotidienne. Développer ces compétences permet aux professionnels du secteur d’évoluer plus rapidement, d’améliorer leur efficacité sur le terrain et d’accroître leur attractivité.

L’expérience terrain, un apprentissage essentiel

Le travail en équipe, la gestion du temps et l’adaptabilité se développent avant tout sur le terrain. Face aux imprévus d’un chantier (conditions climatiques, ajustements techniques ou nouvelles exigences d’un client), les professionnels apprennent à prendre des décisions rapides et à ajuster leurs méthodes de travail.

Exemple : Un conducteur de travaux qui gère une situation d’urgence, comme un retard de livraison de matériaux, améliore progressivement sa capacité à anticiper et à trouver des solutions alternatives.

Se former pour renforcer ses compétences comportementales

Les formations techniques ne suffisent plus : les recruteurs privilégient de plus en plus les candidats maîtrisant aussi la communication, la gestion d’équipe et la résolution de problèmes.

Un enjeu clé pour évoluer dans sa carrière

Les « soft skills » sont nécessaires pour évoluer dans le secteur du paysagisme. Un ouvrier paysagiste qui développe ses capacités de communication et d’organisation peut accéder à des postes d’aide conducteur de travaux, tandis qu’un conducteur de travaux performant en gestion du temps et en leadership pourrait viser un rôle de chef d’équipe.

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Les « soft skills » : un atout pour les entreprises du paysage

Les soft skills ne sont pas seulement un levier de réussite individuelle : elles sont aussi un facteur de performance pour les entreprises ! Une équipe qui sait communiquer, s’adapter et collaborer efficacement permet d’améliorer le déroulement des projets et ainsi que la satisfaction des clients.

Une communication fluide et une bonne gestion du temps permettent d’éviter les erreurs et de répondre aux attentes des clients avec plus de réactivité.

Un levier de cohésion et de performance interne

Une équipe soudée et organisée est plus efficace. Une meilleure collaboration réduit les tensions, améliore la productivité et limite les conflits internes. En favorisant la coopération et la reconnaissance des compétences de chacun, les entreprises du paysage optimisent la gestion de leurs projets et la motivation des équipes.

Un alignement avec la politique RSE et les valeurs d’idverde

Chez idverde, les « soft skills » s’intègrent pleinement dans la démarche écoresponsable de l’entreprise. Travailler en équipe, s’adapter aux défis environnementaux et communiquer efficacement avec les parties prenantes sont des compétences essentielles pour proposer des aménagements durables et innovants.

Conclusion

idverde reconnait que les « soft skills » sont aussi essentielles que l’expertise technique pour mener à bien des projets paysagers d’envergure. C’est pourquoi nous encourageons nos collaborateurs et collaboratrices à développer ces compétences à travers la formation et l’expérience terrain, afin d’évoluer de la manière la plus naturelle et efficace possible.

Maintenant que vous en savez plus sur les « soft skills » requis pour exceller dans les métiers du paysage, découvrez les offres d’emploi idverde dès maintenant.

 

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